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Nous croyons que  des choses doivent bouger

et  que l’art a sa part à jouer.

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Nos valeurs

Les valeurs que nous portons sont le fruit de nos parcours, de nos expériences, de ce que la vie nous a appris.

Chacun·e de nous arrive ici avec une histoire, un chemin traversé, des engagements, des héritages. Ce que nous défendons ensemble, c’est l’écho de tout cela.

Nous avons appris de ce qui nous a nourri·e·s, stimulé.e.s, enthousiasmé.e.s, mais aussi de ce qui nous a manqué. Ce que nous avons vécu d’insatisfaisant est devenu un moteur pour imaginer d’autres manières d’être ensemble, de créer, de travailler. C’est aussi en prenant conscience de ce que nous ne voulions plus, que nous avons commencé à poser les fondations de ce que nous voulons aujourd’hui.

L'Art comme outil transformateur

L’outil artistique a cette puissance unique : il ne donne pas de leçons, il ouvre des espaces.
Il ne dit pas quoi penser, il fait ressentir, réfléchir, questionner autrement. Il met en mouvement ce qui est figé. Il crée du lien là où il y avait de la distance. Il rend visible ce qui était tu, et audible ce qui était enfoui.

L'art permet de reprendre le temps. Le temps de regarder, d’écouter, d’imaginer. Le temps d’habiter des émotions, de se reconnaître dans les autres, d’interroger le monde sans passer par les routes habituelles.
C’est un détour… qui va droit au cœur.

Dans notre travail, l’artistique n’est pas décoratif. Il est central, nécessaire, politique. Parce qu’il autorise la nuance, la complexité, les contradictions. Parce qu’il transforme des récits individuels en expériences collectives. Parce qu’il rend possible un "nous" qui n’existait pas avant.

L’Art ne remplace pas l’action. Il la prépare, il l’accompagne, il la rend désirable. Il donne des forces, du sens, du souffle. Il est, profondément, un outil de transformation sociale.

De la création artistique au partage et/ou à l'action

Un spectacle, un film peuvent bouleverser, toucher, éveiller des prises de conscience.
Mais ce qui change les choses en profondeur, c’est ce qu’on en fait ensuite. C’est là que le théâtre-forum et les outils d’animation participative prennent toute leur force.

Après la représentation, nous ne laissons pas les spectateur·rice·s repartir avec leurs émotions à vif. Nous ouvrons un espace de dialogue, de mise en mouvement, d’élaboration collective. Parfois, cela passe par l’entrée en scène, par l’expérimentation directe d’alternatives. D’autres fois, c’est à travers la parole, des jeux, des outils de réflexion collective que le travail se poursuit.
Dans tous les cas, chacun·e est invité·e à réfléchir, chercher, formuler, tenter, à partir de ses propres repères et de ceux du groupe.

Cette mise en action s’appuie sur des pratiques d’intelligence collective et des démarches de conscientisation partagée. Elle transforme les spectateur·rice·s en acteur·rice·s du changement. Elle permet de sortir de la sidération, du sentiment d’impuissance, pour explorer concrètement des leviers, des résistances, des alliances possibles.

Se bien traiter

Dans notre compagnie, nous pensons que se traiter avec soin, respect et attention n’est pas simplement une question de "bonnes pratiques" : c’est un choix politique.

Dans un monde où les rapports de pouvoir, la compétition, l’épuisement et la productivité sont souvent la norme, décider de prendre soin les un·e·s des autres est un acte de résistance. C’est affirmer que nos corps, nos émotions, nos limites et nos besoins comptent. Que le "comment" est aussi important que le "quoi". Que l’efficacité ne doit jamais se faire au détriment de l’humain.

Se bien traiter, ce n’est pas fuir le conflit ou lisser les tensions. C’est au contraire construire un cadre dans lequel on peut traverser les désaccords avec respect, sans violence, sans écrasement. C’est reconnaître que la manière dont on travaille entre nous dit déjà quelque chose du monde que nous voulons faire exister.

Ce que nous portons sur scène – la justice, l’écoute, la transformation collective – commence par notre manière d’être ensemble. Parce qu’il n’y a pas de théâtre engagé sans une pratique engagée de la relation.

Notre équipe

La compagnie s’appuie sur un cœur d’équipe stable, qui porte la vision artistique et politique du projet.
Autour de ce noyau, des compagnon·ne·s de route nous rejoignent selon les projets : des artistes, technicien·ne·s ou intervenant·e·s avec qui nous aimons travailler et qui portent les mêmes valeurs d’émancipation, de justice sociale, et de soin collectif.

Le coeur de la compagnie

Emy Lévy

La question du sens est au cœur du  parcours artistique d'Emy Lévy.
Formée à l’École Charles Dullin, elle interroge très tôt la responsabilité de l’artiste : qu’offre-t-on à vivre au public ? Quelle place prend-on dans le monde avec ce que l’on crée ?

En 2006, elle rejoint la compagnie NAJE, spécialisée en théâtre de l’opprimé, engagée pour la transformation sociale. Elle y trouve des axes de travail alignés avec ses convictions : être et faire avec l’autre, apprendre en faisant, agir à son échelle avec son savoir-faire pour changer ce qui peut l’être. Pendant 18 ans, elle participe à la création de nombreux spectacles et ateliers sur des sujets tels que les discriminations, la casse des services publics ou les violences faites aux femmes.

Parallèlement, elle travaille avec d’autres compagnies et metteur·e·s en scène — Paul Lera, Marielle de Rocca Serra, la compagnie Cabiria — et apparaît aussi, parfois, devant la caméra.

Aujourd’hui, elle poursuit son chemin en co-créant L’Éveilleur Théâtre, une compagnie portée par des idéaux forts: mettre l’art au service de la transformation sociale, dans une pratique bienveillante, égalitaire, et profondément collective.  Elle participe à l'ensemble des projets de L’Éveilleur Théâtre, contribuant activement à son développement artistique et à son engagement social: lutte contre le harcèlement scolaire, contre le cyber-harcèlement, contre l'entrée en prostitution des mineurs; usage excessif des écrans;  lutte contre les violences sexuelles et sexistes pour les étudiants des métiers de la santé.

De plus en plus, Émy Lévy revendique l’amour comme une valeur politique.
Elle porte aujourd’hui avec force la nécessité d’une parole de femmes puissante, sensible, assumée. C’est dans cet élan qu’elle initie la série de courts-métrages “Reliances”, où elle est autrice, comédienne et directrice artistique, aux côtés de Stéphane Hervé à la réalisation et Alexandre Lévy à la création musicale. Elle propose autour de ces films des séances mêlant projection, lecture et temps de partage, fidèles à sa vision : l’art comme espace de lien, d’émotion, et d’émancipation.

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Sameh Guirguis Labib

Sameh Guirguis Labib est né au Caire, Égypte en août 1993. Le jeu théâtral est une passion à laquelle il s’adonne depuis son plus jeune âge, à travers des ateliers, des créations et des spectacles organisés par l’école et l’église.

Par la suite, il participe à des ateliers de jeu d’acteur et de danse contemporaine. En 2013, il est reçu à l’école d’art dramatique NAS (Nahda Arts School) du Caire. C’est alors qu’il découvre le lien entre le théâtre et le travail social, en jouant dans des spectacles dans des espaces publiques et en animant un atelier de théâtre auprès des enfants sans abri.

Le théâtre l’intéresse pour exprimer notre quotidien avec ses tabous, ses questionnements et ses conflits.

Pour présenter nos comportements humains et pour découvrir ce qui est commun entre nous. Pour utiliser

le théâtre en tant qu’outil de prise de conscience, d’expérimentation et d’échange.

Arrivé à paris en 2016, il cherche des formes de théâtre participatif et social et se spécialise en théâtre forum en tant que comédien et animateur grâce au Théâtre de l’Opprimé, à la compagnie Entrée de Jeu et à la compagnie NAJE (Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir).

Il obtient par ailleurs une Licence Professionnelle Encadrement de l'Atelier de la Pratique Théâtrale et un Master Théâtres, Performances et Sociétés (Sorbonne Nouvelle-Paris 3 et à l’Université de Paris 8-Saint Denis)

Actuellement, il participe à différents projets de théâtre forum sur les thématiques suivantes: “Violence sexuelle et sexiste dans le cadre universitaire”, “Addiction à l’écran”, “Violences faites aux femmes”, “Harcèlement scolaire”, et “ Exclusion et discrimination dans le cadre scolaire”.

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Les compagnon.ne.s de route

François Bonté

François Bonté découvre la scène en parallèle de ses études en relations internationales, qui le mènent à soutenir un mémoire sur "L'utilisation du théâtre forum comme outil de recherche action en partenariat"  suite à l'animation d'ateliers de théâtre de l’Opprimé dans un village de "paysans sans terre" de l'Amazonie Brésilienne.

Dans ce cadre il a suivi des formation auprès de la Cie Etincelle à Montpellier, du Théâtre de L'Opprimé à Paris, et de Coté Act  qui propose l'approche du théâtre forum de la complexité.

Suite à ses études universitaires, entre 2012 et 2016, il se forme à l'interprétation au Conservatoire du XVIIIe à Paris puis au Michael Chekhov Studio de New York.

Depuis dix ans, ayant comme boussole la complicité artistique, politique et humaine,  il est comédien dans des projets hétéroclites, pour le théâtre en salle, en rue, pour les enfants ou les adultes, dans des registres contemporains comme classiques, (Géometrika créa. Coll. Dir. A. Axiothou - Jeune public- Cie Opos Opos ;Une Bête sur la lune de R.Kalinosky- Drame- R. Kalinovsky , m.e.s. J-C Fritz, Cie L’étoile du Flib ; Kadi et ses vies antérieures de N.Hérubel – duo pour la rue -Cie Plante Un Regard, dir. E. Guland ; . La situation poétique en Amérique… de W.Saroyan et 15 min, de Y. Mohamad -Drames- m.e.s. S.Tila ; Cie Taureau par les Cornes... )

En utilisant, principalement les outils du théâtre de l'Opprimé, il aime aussi partager sa pratique artistique avec différents publiques, et créer des formes avec des artistes amateur.ices ( Ce Jardin qui est le votre, Dir N.Hérubel – Créa Coll. Pour l’espace public avec des jeunes d’un IMPro - Cie de’Larchée ; Le G.E.L. créa coll.- CréationS de théâtre en territoire- Coll. Totter Winkell...);  et intervient régulièrement dans des cadres de soin (CHU de Neuilly, Hôpital de jour à Nanterre, Institution pour l'autisme ...).

 Dans la continuité de son travail de mémoire il coordonne également depuis dix ans, un projet  d'accompagnement artisitque d'une communauté paysanne pacifique dans le nord de la Colombie, (la Communauté de Paix de San Jose de Apartado), où il se rend en moeynne tous les deux ans pour accompagner avec les outil de la pédagogie de l'opprimé les artistes locaux, en partenariat avec le collectif franco colombien Soupes aux Cailloux, et Les éditions du carnet d'Or. 

Au centre de ses différentes pratiques et qui les relient, il place depuis l’art du clown qu'il approfondit au fil des années auprès de plusieurs pratiquant.e.s (E. Blouet, F. Cervantès, F.Robbe, H.Langlois, E.Guland, S. Bernard…) et en se confrontant régulièrement au public dans des formes solo ou collectives.

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Agathe Fredonnet

Agathe suit une formation théâtrale universitaire et de jeu, en école et au conservatoire.

Elle multiplie les champs d’apprentissage sur scène avec du théâtre classique, musical,

immersif, de l’improvisation, de la performance, de l’écriture de plateau et des créations

collectives.

En tant qu’intervenante artistique, elle travaille avec des publics multiples dans le cadre

scolaire, associatif, socioculturel et médico-éducatif.

La rencontre avec les Papavéracées en 2016 est déterminante, car elle oriente sa pratique du jeu et de la création vers la recherche et l’expérimentation. Le premier cycle de travail de la compagnie se nomme La Voix des Absents (2017 à 2023). Ce triptyque est constitué d’écrits non-théâtraux puissants fortement liés à la sociologie et aux sciences sociales. Ces œuvres défendent une démarche de réhabilitation de corps et de points de vue souvent oubliés de l’espace public. Durant cette période, elle encadre différentes actions de médiation comme des modules théâtre et sociologie autour des thèmes de la jeunesse, du territoire et de la prise de parole, et les créations participatives “Parole(s) d’enfance(s)”, durant lesquelles elle accompagne pendant une année un groupe d’enfant dans l'écriture et la présentation de leur pièce en public. La compagnie clôt ce cycle de recherche avec un projet de dramaturgie collectif inédit, en créant la pièce Enfance(s) [ilfaut donc que ceci soit un manifeste].

Elle anime pendant deux ans un atelier de théâtre et d’écriture pour femmes qui présentera une exposition et une pièce collective avec des écritures scéniques intimes et protéiformes.

Elle crée en 2023, une pièce pour enfants, un récit moderne sur l’amitié et l’émancipation.

Pour elle, s’intéresser aux écritures scéniques, c’est s’interroger sur ce qui fait théâtre aujourd’hui. Répondre à la nécessité de proposer de nouveaux récits pour inventer d’autres paradigmes et oser de nouveaux imaginaires, collectivement. Dans cette même visée, elle co-écrit en 2024 un conte écologique interespèce tout public, destiné aux lieux non équipés.

En parallèle, elle donne à l’été 2023, un laboratoire de recherche artistique d’écritures scéniques pluridisciplinaires qui donne naissance à une performance déambulatoire en rue. Dans cette continuité, elle crée à l’été 2024 un Parcours Sensitif participatif tout terrain et approfondie la création à l’épreuve du territoire.

Elle voit le théâtre comme un laboratoire d’expériences, de connaissances et comme un

levier d’action citoyenne. Le théâtre permet de faire des ponts entre l'art et le monde social, faire du lien et créer des liens.

“Je crois que je cherche à comprendre par le théâtre ce que pourrait être un Art de la

Rencontre, humaniste et nécessaire, pourvoyeur d’émancipation et de joie. ”

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Stéphane Hervé

Né à Saint Brieuc, Stéphane Hervé est un créateur-né, un touche à tout professionnel, artiste avant tout.

Au fil de ses rencontres, ses passions deviennent ses métiers. Que ce soit en tant que journaliste (R.A.G.E, Rock’n’Folk, Oui FM... ), photographe (Gallimard, HP Europe, ), réalisateur pour des émissions à la télévision (France 2, Tracks sur Arte...), réalisateur de clips (Kent, Alice Gift, Treponem Pal...), Stéphane aime et sait raconter des histoires. Avec le groupe Dead Sexy qu'il fonde avec son soulmate Emmanue Hublaut, il voyage aux quatre coins du monde et notamment en Asie. L'occasion une nouvelle fois de collaborer avec des univers qui le touchent particulièrement : le manga (Non Stop Naruto), les performances (Tokyo Décadence) et des expositions photos.

Son talent à mettre en valeur ceux auxquels il croit sera également sollicité par le corporate : sa marque fétiche Nintendo par exemple dont il est un des photographes phares pour l'Europe.

C'est très logiquement qu'il fonde en 2012 avec Xavier Norindr sa société de production Crosslight spécialisée dans la musique à l’image qui allie ses deux passions.

Une troisième étant sa Bretagne natale à laquelle il rend un bel hommage en 2022 à travers son documentaire « Laisser parler la mer ».

Il est le réalisateur de « Reliances ».

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Alexandre Lévy

Formé au CNSM de Paris où il obtient cinq premiers prix Alexandre Lévy est pianiste, compositeur et directeur artistique. Son monde sonore est unique et son imagination musicale hors des sentiers battus.

Il créé en 2003 sa propre compagnie aKousthéa, entouré d’une équipe pluridisciplinaire favorisant un croisement des écritures et un échange concret entre l’œuvre et le public.

Si son corpus comporte de la musique de chambre, de l’électro-acoustique etdes ouvrages scéniques, Alexandre Levy se tourne particulièrement vers l’installation sonore en s’appropriant l’univers d’un lieu pour en proposer une écoute poétique grâce à ses partitions.

En collaboration avec des plasticiens, chorégraphes et scénographes, il réinvente, par la performance, le concert ou le spectacle, la notion de la mise en scène du son.

Il s’intéresse ainsi au rapport Art et Patrimoine où comment retranscrire un patrimoine historique ou environnemental au travers d’une œuvre plastique et musicale.​

Ses œuvres voyagent et jouissent d’une diffusion internationale dans lesinstitutions de musiques d’aujourd’hui ( Multiphonies du GRM, à la Biennale de GRAME à Lyon, Ars Musica Bruxelles, à la Scène Nationale d’Orléans, Scène du Bassin minier Nord Pas de Calais, au Vietnam, au Weywuying Opéra national de Kaohsiung (Taïwan), Taïpeï Fine Arts Muséum...) Son projet « Vibration Forest », création autour de la communication des végétaux à la musique entame une tournée internationale en 2023 et 2024. Fauves, opéra et installation interactive sera créé en 2024, alliant voix humaines et non-humaines.

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Tibor Radvanyi

Tibor Radvanyi est un artiste pluridisciplinaire né à Paris.
Il se forme dès l’enfance à la musique (violoncelle), puis s’oriente vers les arts dramatiques après un bac littéraire. Il suit un cursus en arts du spectacle – option théâtre – à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle et complète sa formation au conservatoire du 9ᵉ arrondissement de Paris.

Il explore rapidement d’autres métiers de la scène, notamment la scénographie, et devient durant deux ans l’assistant du plasticien et scénographe Bernard Michel. Ensemble, ils collaborent avec des institutions comme l’Opéra de Paris, l’Opéra de Milan, ainsi que pour des maisons telles que Patek Philippe à Genève.

En 2008, il cofonde le Collectif Z Machine avec des circassiens issus du CNAC, des artistes des Arts Décoratifs et des architectes. Cette aventure multidisciplinaire lui permet d’endosser tour à tour les rôles de comédien, dramaturge, auteur et photographe. Avec Z Machine, il s’initie à la photographie lors d’un projet franco-portugais sur les violences faites aux femmes, découvrant un langage artistique qui deviendra indissociable de sa pratique. Il affirme dès lors sa volonté d’utiliser le théâtre et la photographie comme des vecteurs de lien social et de récit des habitants des territoires où il intervient.

Dans cette continuité, il fonde en 2018 le Collectif 2222, compagnie de théâtre physique et pluridisciplinaire dont la ligne directrice est d’aborder des sujets de société sans pathos et d’aller à la rencontre de publics isolés pour créer avec eux de manière horizontale. Le Collectif mène plusieurs projets d’envergure autour des droits culturels, mêlant théâtre, photographie, son et vidéo : Infusion/Effusion sur le territoire de Cœur de Nacre en partenariat avec l’Odia Normandie et C3 Le Cube à Douvres-la-Délivrande, ou encore un travail mené dans l’Orne en 2022/2023 sur la violence liée au handicap, en partenariat avec La Corne d’Or de Randonnai. Le Collectif a également travaillé dans des quartiers prioritaires, notamment à Bagneux avec le Théâtre Victor Hugo, autour du « Feu de Barbusse ».

En parallèle, Tibor poursuit son travail de photographe à travers des séries et expositions. Lauréat du prix de la meilleure série pour son travail sur la fin de vie, il développe actuellement un cycle autour de la maternité, revisitant des tableaux classiques en plaçant au centre les femmes enceintes.

Aujourd’hui, il élabore plusieurs projets théâtraux et photographiques autour de thèmes tels que la place des femmes dans les luttes et la construction du genre chez les enfants.

Contacts

L'Eveilleur Théâtre - 117 boulevard Murat - 75016 Paris - Siret: 498 711 589 000 16 - N° licence: PLATESV-D-2024-001541​​

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